Vieux textes pharaoniques découvert dans les fouilles de ma chambre. Le plus long fut la traduction sans nul doute. Attention Niaiseries repérés
Dialogue improbable
« -Où t’es tu perdu pour me regarder comme ça ?
A quoi penses-tu ? Pourquoi me fixes-tu ainsi ?
Voudrais-tu parler de tes désirs ou soucis
Ou est-ce une chose plus profonde que cela ?
-Je me suis perdu et noyé dans tes yeux bleus
Tu m’as capturé et je ne peux m’échapper
Mon désir étant de ne pas être libéré
Et de toi, je ne veux plus détourner les yeux
-Dis moi cette envoutement quel en est la raison ?
-Ne comprends tu donc pas que c’est toi ma raison ?!
Veux-tu m’obliger à dire ces mots fastidieux
-As-tu donc peur de ces mots si fâcheux ?
-Trop. Tout autres que moi devient joyeux ou triste
Suite à la flamme qui s’éteint provoquant la crise
Mais moi je perds toutes mes émotions, tous sentiments
Nul peur, nul amour, la folie m’envahissant
-As-tu donc peur de l’amour que tu me portes ?
Ou si jamais la flamme d’un d’entre nous s’éteint
Penses-tu vraiment que la folie te remporte ?
Crois-tu vraiment que notre couple aura une fin ?
-Dis-moi que tous ces mots que je prononcerai
Ne seront jamais à tes oreilles que du vent
Dis-moi qu’ils deviendront en toi purs sentiments
Qu’alors à leur juste valeur tu sois touchée
-Si tu veux le savoir, il faut d’abord les dire !
-Tu n’as absolument aucune pitié pour moi
Mais étrangement cela ne me dérange pas
-Vas-y, lances toi, pour le meilleur et pour le pire
-Il y a bien longtemps que tes yeux m’ont charmé
Que ta stature et ton visage m’ont envouté
Et que je n’arrive plus à penser librement
Ta belle voix est gravée dans mon cœur, ne me quittant
Parmi toutes les femmes existantes, je te désire
Tu es bien la seule à pouvoir me faire souffrir
Mais tu es la seule à pouvoir me rendre heureux
Ainsi je t’aime, toi seule peux allumer le feu
Ce feu éternellement ardent immortel
Et c’est sans mentir que je peux te dire, je t’aime »